La belle athlète Aimee Mullins âgée de 35 ans vient prendre sa place parmi les plus célèbres femmes égéries de l’Oréal Paris. Amputée des deux jambes depuis sa plus tendre enfance, elle incarne le prestige d’une marque de cosmétiques de renommée internationale.
L’incroyable destin d’Aimee Mullins
Aimee Mullins rejoint donc la grande famille des ambassadrices de L’Oréal Paris après Jennifer Lopez, Beyoncé Knowles, Rachel Weisz, Gwen Stefani, Eva Longoria, Freida Pinto ou Diane Kruger. Aussi connue dans le monde du mannequinat, sa remarquable prestation lors d’un défilé pour le couturier Alexander McQueen en 1995 lui a valu une place parmi les cinquante plus belles femmes du monde élues par le magazine People. Née en Pennsylvanie en 1976, Aimee Mullins fut amputée des deux jambes dès l’âge d’un an. Ses membres inférieurs étaient en effet dépourvus de péroné, ce qui ne lui permettait pas de se tenir debout ou de marcher. Ayant participé aux jeux paralympiques d’Atlanta en 1996, notamment dans les épreuves de courses de fond, 100 mètres et 200 mètres, et de saut en longueur, Aimee Mullins bat les records du monde dans les trois branches. Aujourd’hui, la jeune femme a été choisie par la plus grande marque de cosmétiques pour sa beauté et son élégance.
Aimee Mullins, représentation parfaite de la signature L’Oréal
Cette jeune femme au destin incroyable possède un talent inné pour le cinéma. Elle a notamment joué dans « Cremaster 3 » de Matthew Barney en 2002 et apparaît dans « Cinq petits Cochons » puis dans un film d’Oliver Stone intitulé « World Trade Center » en 2006. Les nombreuses récompenses qui lui ont été décernées dans le monde du sport ont fait d’Aimee Mullins la plus célèbre athlète handisport de toute l’histoire. Aujourd’hui, elle est la présidente de la « Women’s Sports Foundation », fonction qu’elle occupe depuis 2007. Selon la directrice de L’Oréal Paris aux États-Unis, Aimee Mullins est la parfaite représentation de la philosophie de la marque L’Oréal, célèbre depuis plus d’un siècle. En effet, la jeune assume parfaitement son handicap et décrit la beauté comme n’étant pas un artifice mais un vecteur d’affirmation de soi. Il lui arrive même de plaisanter en disant qu’elle peut faire plusieurs tailles en choisissant des prothèses plus ou moins longues selon ses inspirations et ses envies.
